26e dimanche 2017
Ézékiel 18,25-28
Psaume 25 (24)
Philippiens 2, 1-11
Matthieu 21, 28-32
Bonne nouvelle : « je peux changer de vie »
«Quel est votre avis? Un homme avait deux fils…» (v.28)_
Ainsi commence l’évangile d’aujourd’hui. Ces deux fils représentent notre cœur qui dit oui, qui dit non ; qui dit oui en parole, mais non en acte ; qui dit non, puis change d’idée, se rétracte.
Je pense que c’est l’un des drames de notre société
La parole donnée cesse d’être tenue et de passer en actes Nous ne faisons plus guère confiance
*aux discours des femmes et hommes politiques,
*aux promesses de ceux qui font la publicité,
*aux commentaires des journalistes
* et, hélas même, « aux propos» de certains curés.
La confiance dans nos représentants et dans nos institutions se fragilise. Même dans la vie de famille, tout paraît incertain et précaire.
« Va travailler aujourd'hui à ma vigne. »(v.28)
«Travailler à la vigne» ça veut dire pour nous, «travailler à rendre le monde dans lequel nous vivons un peu meilleur par des gestes concrets. Comme vous voyez, l’évangile demande des choses très simples : un peu de tendresse, un sourire, un geste de solidarité, une visite, du temps consacré à une autre personne, à une bonne cause, un peu d’argent. «Aller à la vigne», c’est aller à l’autre, c’est aller vers les autres.
C’est ce que nous fait voir la deuxième lecture, (Philippiens 2,1ss).
Contemplons le Christ. De condition divine. Il s’est abaissé, prenant la condition humaine dans ce qu’elle a de plus modeste, souffrant et mourant de la mort des esclaves. « Ayez entre vous les dispositions que l’on doit avoir dans le Christ Jésus ». (v.5) Au lieu de penser à soi, que chacun se préoccupe un peu des autres. Voilà ce que ça veut dire de« travailler à la vigne du Père».
Vous pouvez lire l'histoire complète dans sa source principale: paroissesacre-coeur.com
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