miércoles, 16 de diciembre de 2015

Novena de Navidad con textos de san Juan Eudes


En la Navidad contemplemos el misterio de la Encarnación de Dios.

La Unidad de Espiritualidad Eudista pone a disposición de todos la Novena de Navidad con textos de san Juan Eudes, para meditar durante estos días en torno al misterio de la Encarnación.

Esta novena es una versión distinta en cuanto al diseño de la novena original. Los contenidos son los mismos. Para solicitar la novena original escríbanos a eudistasminutodedios@gmail.com









Encerramento da Festa de Santa Luzia no jardim das Oliveiras


Com uma procissão, que percorreu as ruas Antônio Rocha, Amador Bueno, Desembargador Carvalho Lima, Padre Francisco Pita, Faustino de Albuquerque, Feliciano de Ataíde, Senador Carlos Jereissati, Ademar de Barros e mais uma vez Faustino de Albuquerque e Antônio Rocha, do bairro Jardim das Oliveiras e, logo em seguida, uma missa campal celebrada pelo padre Luís Gabriel, pároco de São João Eudes, ficaram encerrados, no último dia 13 de dezembro, os festejos em honra a Santa Luzia.


 


As novenas foram bem animadas, bem como as celebrações, que lotaram as dependências da Capela Santa Luzia, com a participação dos fiéis católicos, especialmente os devotos da padroeira do bairro Jardim das Oliveiras.

 







Méditation spirituelle de l’Avent V

 Une lumière dans la nuit.

Un espoir pour toutes les personnes éprouvées.

Une foi profonde marquée par la méditation de la Croix comme mystère d’amour universel.

Un attachement indéfectible au Dieu créateur, sauveur, qui se fait proche de chacun.

Une prière intense fondée sur le coeur à coeur entre le Christ et toutes les personnes qui se tournent vers lui et qu’il connaît par leur nom.

Telle est la figure de saint Jean de la Croix, que l’Eglise nous propose de fêter au cours de notre marche de l’Avent en cette année sainte de la Miséricorde.







Third Sunday of Advent: HOSPITALITY for Syrian refugees in Lebanon

Today marks the Third Sunday of Advent and we continue to open our hearts and prepare to welcome Jesus Christ into our lives.

As part of our Advent series this week we focus in on the word HOSPITALITY. We define HOSPITALITY as receiving a guest - friend or stranger - with goodwill. The word is about generosity, vulnerability and more specifically about people.

For years now, the Sisters of Our Lady of Charity of the Good Shepherd in Lebanon have provided hundreds of Syrian refugees with HOSPITALITY, offering them basic life necessities - food, fuel and health care - and the support they need to survive.

The Syrian Civil War, now five-years-old, has forced some four million people to leave everything behind and seek sanctuary in neighboring countries. Lebanon alone has taken in more than 1.1 million Syrian refugees.

Our Sisters in the region have focused in on basics. They have provided refugees with medical care at the Saint Antoine Dispensary in East Beirut. They have also assisted children and given them access to the educational services they run at the Social and Community Centre of the Good Shepherd. Plus, they are great listeners and learn about the struggles and the needs of the refugee community.

Our Sisters have demonstrated what the word HOSPITALTY means and they are offering it with open arms and an open heart each day of the year. You can learn more about our work in Lebanon here and donate directly during this season of giving here.







La Novena de Aguinaldos



La Novena de Aguinaldos es una celebración que se acostumbra celebrar entre los católicos, la cual está arraigada en Colombia y Ecuador, y se encuentra relacionada con la Navidad. Se trata de una oración rezada durante nueve días (novena) en la época previa a la Navidad (época de aguinaldos). Sabemos bien que ésta práctica es de origen católico, pero lamentablemente en muchos casos se convierte simplemente en una un evento social.

Empecemos recordando un poco de la historia de nuestras novenas: “La novena fue originalmente creada por Fray Fernando de Jesús Larrea,2 franciscano nacido en Quito en 1700 quien después de su ordenación en 1725 fue predicador en Ecuador y Colombia.3 Fray Fernando la escribió por petición de la fundadora del Colegio de La Enseñanza en Bogotá doña Clemencia de Jesús Caycedo Vélez y fue publicada originalmente en 1743.4 Muchos años después una religiosa de La Enseñanza, la madre María Ignacia (nacida Bertilda Samper Acosta) la modificó y agregó los gozos (canciones).

El lenguaje es florido y arcaico, lo que ha motivado a varias versiones que pretenden modernizar el lenguaje. Son comunes las versiones en el que se reemplaza el voseo reverencial por el uso de tú, el cambio de padre putativo por padre adoptivo al referirse a José. Otras versiones incluyen cambios más drásticos en la modernización del lenguaje.

El escritor Jairo Aníbal Niño publicó en 2001 una versión de diez días titulada Los nueve días y un día, nueva novena de Navidad. Otras versiones incluyen la Nueva novena de aguinaldos de Luis Ferrer y Luis H. Trigueros.1 En diciembre de 2012, el diario El Tiempo publica una versión en el que las consideraciones son reemplazadas por textos breves de la Biblia y el misal católico, al considerarlos más acordes con el Concilio Vaticano II”.

La idea no es sólo rezar por rezar, es que cada uno prepare su vida para que Jesús vuelva a nacer en ella. A veces nos dedicamos a “competir” quien da el mejor bocado en la novena, o simplemente un momento de esparcimiento, pero la verdad en sencilla, si tú no vives una novena lo único que estás haciendo es una repetición sin sentido; eso es lo mismo como memorizar las clases para un examen, al final quizá hasta lo apruebes pero eso no se verá reflejado en tu crecimiento intelectual.

Si en esta navidad quieres crecer espiritualmente, debes vivir cada gozo, consideración, etc como parte de la alegría que implica la navidad.








Joyeux Noël! - ¡Feliz Navidad! UEE





martes, 15 de diciembre de 2015

Auto de Natal


 No dia 13 de dezembro foi apresentado pelo grupo de teatro, pertencente ao Eixo de Celebração, o Auto de Natal. Este mesmo, foi organizado por Fábio Ximenes e os jovens que fazem parte do Pazcultura.







Troisième dimanche de l'Avent

13 décembre 2015

Sophonie 3, 14-18

Cantique d'Isaïe 12,2-3, 4, 5-6

Philippiens 4, 4-7

Luc 3, 10-18

C’est aujourd’hui le « dimanche de la joie ». Le prêtre est revêtu à cette occasion, comme au « Laetare », d’une chasuble "bleue". Oui, les chrétiens sont porteurs du plus formidable message de bonheur.

Le prophète Sophonie nous invite à faire avec Dieu un tour de danse! « Pousse des cris de joie, fille de Sion ! Eclate en ovations. Réjouis-toi. Tressaille d’allégresse... Car le Roi, ton Seigneur, est en toi ! Ton Dieu est en toi : il dansera pour toi avec des cris de joie, comme aux jours de fête ! »(vv 14.17-18) Et saint Paul surenchérit : « Soyez dans la joie. Que votre sérénité soit connue de tous. Le Seigneur est proche ».

Dieu est « en nous », dans la communauté des croyants, le peuple d'Israël et l'Eglise et en chacun de nous. Par notre baptême, nous sommes « dans le Christ », dans le Corps du Christ qui est l'Eglise, membres du Christ, comme incorporés à lui et comme transformés en lui, si nous ouvrons notre cœur à ce mystère dans la foi: lui en nous, nous en lui. Cette présence de Dieu et de nous en Lui est essentiel.

Cette joie de Dieu, envahissant notre coeur,fait disparaître un autre sentiment...

« Tu n'as plus à craindre le malheur...Ne crains pas...Ne soyez inquiet de rien... »(Sophonie 3,15;Phil 4,6) C'est la peur qui doit disparaître. La peur est la grande ennemie de Dieu, qui répète 365 fois dans la Bible:«ne crains pas...». Peur de l'avenir, peur des « catastrophes », peurs irrationnelles de l'humanité depuis toujours, peur des puissances mauvaises, peur des dieux tout puissants que nous avons créés à notre image, peur de Dieu même, un faux Dieu menaçant qui veut écraser l'homme. « N'ayez pas peur » répète Dieu, ayez confiance, ou pour le dire mieux avec les mots de Jésus : « Sois sans crainte, petit troupeau, car il a plu à votre Père de vous donner le Royaume. » (Luc 12, 32) Cette tendresse du Père pour tous est ce qui motive l'absence de crainte et la confiance. Elle s'exprime dans nos deux textes :

En Sophonie, « Le Seigneur ton Dieu est en toi, c'est lui le héros qui apporte le salut. » Dieu est celui qui nous sauve, qui veut notre bonheur.

Chez Paul, « ne soyez inquiets de rien, mais en toutes circonstances, dans l'action de grâces, priez et suppliez pour faire connaître à Dieu vos demandes... » Si Dieu est un Père, il nous donnera ce dont nous avons besoin, adressons-nous à lui avec confiance. Écoutons encore Jésus ; «Pas un passereau n'est en oubli devant Dieu ! Bien plus, vos cheveux mêmes sont tous comptés. Soyez sans crainte, vous valez mieux qu'une multitude de passereaux ! » (Luc 12, 6-7)

La joie et l'absence de peur est-elle possible ? Jean-Baptiste, dansl'Évangile,de manière très concrète, nous répond que Oui... mais à trois conditions.

1.La conversion

Le chemin de la joie, pour le Baptiste, passe par la conversion du coeur. Nous portons en nous un désir de bonheur bien plus grand que nous. Seul Dieu peut augmenter notre désir à sa mesure qui est d’aimer sans mesure. On n’est libre que dans la mesure où l’on aime, d’un amour de compassion, d’un amour gratuit.

2. Que faire ?

Pour cela, nous n’avons à faire, dit Jean Baptiste, que des choses simples.

« Si tu as deux manteaux, partage avec celui qui n’en a pas »(v.11). En premier lieu, il demande le partage, le refus du superflu et le souci des pauvres. Les chemins du bonheur empruntent ceux du partage et de la justice .On peut citer bien des paroles de Jésus dans les Évangiles qui s'en rapprochent. Retenons en seulement deux :

- A qui te demande, donne; à qui veut t'emprunter, ne tourne pas le dos. » (Matthieu 5,40-41). - Le chapitre 25, vv.31 à 45 de l'Évangile de Matthieu, bien connu : « ...j'avais faim et vous m'avez donné àmanger... ». Ces rapprochements permettent d'élargir la prédication de Jean-Baptiste: pas une simple solidarité humaine, mais un signe de conversion, un acte de foi envers Dieu qui aime tous les hommmes et femmes de ce monde..

Les deux autres questions et réponses sont plus « spécialisées »(vv 13-14): collecteurs d'impôts et soldats. Mais, dans les deux cas, la réponse de Jean Baptiste est la même : il ne s'agit pas de faire des choses extraordinaires, de tout lâcher pour aller vivre au désert, il s'agit de bien faire son métier, avec honnêteté, et aussi de refuser la tentation de l'abus de pouvoir, de la course à l'argent et de la violence. Jean-Baptiste renvoie chacun à sa conscience professionnelle et à sa conscience morale. Du coup, questions et réponses deviennent valable, quelle que soit l'époque, et quel que soit l'état de vie.

3. Etre plongé dans le feu

Jean Baptiste, enfin, après avoir invité au partage de ses biens, appelle à ouvrir son coeur et annonce la venue du Messie qu'ils attendent.

Quel genre de Messie? À première vue, ce Messie cadre mal avec l'image que nous nous faisons de Jésus « doux et humble de cœur ». Est-ce la vision un peu dure de Jean-Baptiste ? Ou y a-t-il quelque chose à en tirer pour notre approche de Jésus ? Méfions-nous d'un vision trop mièvre du Christ; dans l'Évangile comme ici, il apparaît souvent comme le Juge.

Donc, dans le texte, il « tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s'éteint pas... ». Plus qu'un jugement au sens de « condamnation », remarquons qu'il s'agit d'un "discernement", entre ce qui est fructueux, fécond, utile, le « grain », et ce qui est inutile, volatile, sans intérêt, la « paille ». Rien ne dit qu'il s'agit de deux types de personnes, les bons et les mauvais. Il y a des choses en ce monde que Dieu prendra dans son « grenier », qu'il conservera précieusement, et d'autres qu'il brûlera. Ne nous laissons pas prendre par des images de l'enfer, qui sont de toutes manières, bien
postérieures à la rédaction des Évangiles. Le «feu » a déjà été mentionné plus haut : « Lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et le feu. » : le feu de l'Esprit Saint, c'est cela qui brûlera, qui fera disparaître ce qui dans ce monde est mauvais, obscur, ou simplement trop superficiel pour nourrir la vie de l'homme, comme le bon grain.

Frères et soeurs,

Se convertir peut paraître encore facile. Jean ne demande que des choses simples et concrètes. Mais essayons... et nous verrons que changer de vie nous est pratiquement impossible. Il y faut un acte de Dieu autant qu’un acte de notre part.

Pour décrire l’action de Dieu, Jean Baptiste utilise trois images : la plongée, le vent et le feu.

L’Esprit de Dieu veut nous bousculer comme un vent de tempête dans lequel on est plongé, comme un feu qui brûle et décape toutes nos souillures.

Voilà ce que nous offre ce temps de Pénitence et de conversion qu'est le temps de l'Avent que nous avons l’occasion de vivre avant Noël,avant les fêtes. Qu’il nous conduise plus avant vers le vrai bonheur, le chemin de la paix du coeur.








Christmas Concert SJE Music Ministry






Nouvelles cjm.org






lunes, 14 de diciembre de 2015

Méditation spirituelle de l’Avent IV

L’initiative de ce Jubilé par le Pape est un cadeau pour le monde et pour tous les chrétiens ; le message de la Miséricorde divine confié à Sainte Faustine est un message absolument nécessaire pour notre temps, pour notre actualité troublée. Réjouissons-nous en ce 3ème dimanche de l’Avent, réjouissons-nous avec Marie qui exulte en parlant de cette miséricorde divine qui « s’étend d’âge en âge ».

Dans la Bulle d’indiction, le Pape nous indique comme démarche personnelle la méditation et la réalisation de Lc 6,37-38 : « Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et l’on vous donnera : c’est une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans le pan de votre vêtement ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous ». Le Seigneur nous appelle à une véritable bonté, autre nom de la miséricorde. Dans une communauté comme la nôtre, demandons la grâce les uns pour les autres de nous éveiller à des prises de conscience, de ce qui peut pervertir la vie commune. Je vous en indique trois la médisance, le quant-à-soi et le l’entre-soi. Il nous faut purifier notre vie commune de tous les ferments qui peuvent la corrompre selon l’expression de 1 Co 5,6-8, et seule la miséricorde divine peut en venir à bout.

Car cette miséricorde est la main tendue du Christ pour nous rechercher dans nos diverses impasses, une main qui se laisse transpercer par celui qu’il cherche, trouve et sauve. Ces propos ne sont pas accusateurs, bien au contraire, ils manifestent le cheminement que nous pouvons accomplir ensemble comme la bulle d’indiction l’énonce de manière si réaliste au n°22 : « Nous sommes conscients d’être appelés à la perfection (cf. Mt 5, 48), mais nous ressentons fortement le poids du péché. Quand nous percevons la puissance de la grâce qui nous transforme, nous faisons l’expérience de la force du péché qui nous conditionne. »






Oración de los Asociados (as) Eudistas del 19 de diciembre

En este mes de diciembre que ya viene, se inaugurará “El Año de la Misericordia” anunciado por el
Papa Francisco. Entremos de todo corazón en este proyecto.

En la preparación de Navidad, busquemos a nuestro alrededor la gran misericordia de Dios; San Juan Eudes nuestros padre espiritual sabía descubrir por todas partes las delicadezas del Corazón Misericordioso de Jesús.

En esta última semana del adviento, contemplemos a María en espera de su niño. En su Magníficat María alaba la misericordia de Dios para con ella; en su lectura del magníficat San Juan Eudes nos dice “¡que la gloria estalle en tus misericordias, en las maravillas de tu amor! Que seas siempre bendito alabado, glorificado por tus hazañas. El padre de las misericordias no olvida tu sacrificio. ¡Que realice todos tus deseos!”»

A pocos días de Navidad pensemos a los gestos de misericordia para nosotros. Oremos despacioso ese magníficat compuesto por el mismo San Juan Eudes.

Magníficat;

¡Mi alma glorifica el Corazón admirable de Jesús y de María, y mi espíritu exulta de gozo en este Corazón inmenso que me habita!
Sí, Jesús y María me han dado su Corazón para que yo no viva que en su amor.
¡Gracias infinitas por su don inexpresable!
Hizo en mí maravillas, ese Corazón tan bueno; me tomó para él, desde el seno di mi madre. El abismo de mi miseria llamaba el abismo de su misericordia. Este Corazón tan dulce me ha rodeado siempre de sus más dulces bendiciones.
¡Ha sido para mí un refugio a la sombra de su mano, me ha guardado como la niña de sus ojos!
Me ha escogido para que fuera su sacerdote, me ha contado en el rango de príncipes de su pueblo;

Puso en mi boca sus palabras, haciendo de ella una espada acerada.
Me ha hecho morir, me ha hecho vivir, me ha acompañado por todos mis caminos.
Ha luchado contra todos mis enemigos, y de todas las pruebas me ha librado.
¡Oh Corazón lleno de amor, fuente de todo bien, de ti me han venido bienes incontables. ¡Alabado seas! ¡A ti el amor, a ti la gloria! ¡Que todas las lenguas te canten, que todos los corazones te amén!

¡Que tu gloria brille en tus misericordias, en las maravillas de tu amor!
¡Bendito, alabado, glorificado seas por siempre, por tus hazañas!
¡Que el Padre de las misericordias no olvide tu sacrificio, que realice todos tus deseos!
¡Oh Corazón de Jesús, en la Cruz tú te has entregado por amor para con nosotros, y has conocido el sufrimiento: haz que nuestro corazón se consume en tu fuego, para siempre!
¡Oh Corazón de María, traspasado por la espada del dolor, haz que también nuestro corazón se deje traspasar por el amor que viene de Dios!
¡Oh Corazón de Jesús y de María, hoguera de amor, que nuestros corazones ardan en ti para siempre!

¡Que mueran en tus llamas, y que sean por la eternidad un solo corazón con el Corazón de Jesús y de María!

Gloria al Padre, al Hijo y al Espíritu Santo. Al Dios que es, que ha sido que viene por los siglos de los siglos. Amén

En estos días antes la Navidad, podemos pensar en María que lleva en su seno el niño Jesús; (Referirse y meditar un texto de San Juan Eudes en Vida y Reino, pagina 338)

Debemos mirar y adorar el Hijo en su vientre; miremos y adorémosle solamente a Él. Es de esta manera que María quiere ser honrada, porque en ella y por ella misma no es nada, Pero, su Hijo Jesús es todo en ella; es su persona, su fuerza y su grandeza.

Como es costumbre en esta temporada que se avecina, compartiremos nuestros deseos de paz,
felicidad, justicia y amor con nuestros familiares y amigos.

Para nosotros especialmente, esperamos que esos deseos reflejen las orientaciones que surgieron como esenciales en el congreso de Bogotá para todos los asociados y amigos de la Congregación de Jesús y María.

Por lo tanto, oremos los unos por otros, pero también unidos con los otros para que nuestra comunión en la caridad sea intensa y sincera; para que nuestras comunicaciones sean frecuentes y productivas; para que nuestras responsabilidades en nuestras comunidades y en la iglesia, sean signos de nuestra participación activa en la misión que se nos ha confiado. Que el amor que nació y ardió eternamente en los corazones de Jesús y María pueda nacer y crecer en cada uno de nosotros en esta Navidad.

Estos son los cálidos deseos que compartimos con ustedes los asociados y amigos de la región de Gatineau (Québec) en Canadá.







Renewed Website of St. Patrick Catholic Community



http://stpatrickcarlsbad.com/






Com procissão e Missa ficam encerrados os Festejos em honra a Santa Luzia



Com uma a procissão, que percorrerá várias ruas do bairro Jardim das Oliveiras e uma missa, na sua Capela, que será celebrada pelo pároco de São João Eudes, padre Luís Gabriel, ficam encerrados na noite de hoje, domingo, dia 13 de dezembro de 2015, os festejos em honra a Santa Luzia.

 

A programação de hoje foi iniciada com uma celebração eucarística às 6 horas e tem uma outra missa às 9 horas, finalizando com outra na tarde noite deste domingo.

ONTEM

O novenário de Santa Luzia ficou encerrado na noite de ontem, com a reza do Terço, Adoração ao Santíssimo e uma missa celebrada pelo padre Sávio, da Área Pastoral Nossa Senhora da Assunção. A Capela Santa Luzia, que está completando 100 anos, estava com suas dependências completamente tomadas por fiéis católicos, a sua grande maioria por devotos da “protetora dos olhos”.

 

No final, os participantes da celebração se deslocaram para a parte lateral esquerda da Capela para um encontro social, onde degustaram comidas típicas e ficaram bastante tempo ouvindo chorinhos tocados pelo grupo denominado de “Noites Cariocas”, que agradou a todos.







Méditation spirituelle de l’Avent III

 
Cessons nos gamineries !

À qui vais-je comparer cette génération ? Elle ressemble à des gamins assis sur les places, qui en interpellent d’autres en disant : « Nous vous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé. Nous avons chanté des lamentations, et vous ne vous êtes pas frappé la poitrine. » (Mt 11, 16-17)

Entre enfance et gaminerie, il n’y a qu’un pas : pour le gamin, il est impossible d’accueillir la parole de Jean le Baptiste, de discerner la venue du Fils de l’homme. Passer du gamin à l’enfant, c’est le défi auquel nous sommes soumis jour après jour : reconnaître la venue du Sauveur dans notre vie et dans l’histoire, la discerner dans l’épaisseur de la réalité et la complexité de notre temps. Car, le problème de ces gens que Jésus compare à des gamins, c’est justement qu’ils sont tombés dans la gaminerie le jour où ils ont cessé de se comporter en enfants du Père, engendrés dans l’Esprit. Centrés sur eux-mêmes et leurs mesquineries, ils ne se savent plus radicalement dépendants de Dieu, contrairement à l’enfant qui se tient humble et confiant devant Lui. L’enfance, dans l’Evangile, c’est cette attitude intérieure sans laquelle il est impossible d’apprendre à discerner les paroles de Vie, les signes du Verbe qui ne cesse d’advenir en notre monde, mystère de l’Incarnation. Paradoxalement, c’est en passant du gamin à l’enfant que nous deviendrons adultes.

Nous prions à vos intentions, déposez-les ici.





When Love was Born





Adviento es compasión

Artículo para la Reflexión

El amor de Dios se derrama en llamas ardientes...

Las llamas de Su Misericordia están allí, aquí, donde puedas encontrarlas... en las personas sufrientes, en el canto de las aves, en la inmensidad del cosmos, en el niñito dependiente...en mujeres orantes.

El Corazón de Dios está en el mundo y late dentro de nosotros/as. ¿Lo escuchas? Su Puerta está abierta; abre los ojos del corazón, descúbrela y entra ya que su misericordia te espera para darte de beber aguas abundantes, de las fuentes del salvador. Pide y se te dará... una medida fuerte, abundante.

María con su Sí, se convirtió en Puerta Santa, vía de acceso a nuestra tierra, de Jesús Dios humanado. Cada uno de nosotros puede convertirse en puerta abierta por donde Cristo pase hacia los demás.

Este adviento requiere de nosotros/as ser fuego ardientes de amor que muestre al Señor. Es el tiempo de abrir puertas, señalar caminos, porque el Señor que ya vino, viene, está, llegará.

Estemos vigilantes sosteniendo el amor de nuestra tierra dolida.

Hna. Angélica Guzmán
Centro de Espiritualidad






Méditation spirituelle de l’Avent II




L’Avent, un chemin de confiance et de joie.

Dans la grisaille des jours d’automne et des événements douloureux de notre monde, voilà que le texte du prophète Isaïe (Is. 41, 13-20) vient comme une percée de lumière.

Dans nos solitudes, le Seigneur nous promet sa présence :

« Ne crains pas, je suis avec toi….je ne t’abandonnerai pas. »

Ce n’est pas en nous regardant nous –mêmes, mais en prenant de la hauteur, que nous trouverons en Lui notre joie. : « Mais toi, mets ta joie dans le Seigneur. »

Portons nous mutuellement dans la prière, déposez vos intentions ici !






"What are we to do?"

http://diaconos.i.d.f.unblog.fr/files/2012/12/tropisieme-dimanche-de-lavent-annee-c.pngby: Br. Dennis Jones Garcia [cjm]

Advent reminds us that we are all caught in the tension of the two comings of Christ in this world: His coming being born in human flesh two millennia ago and his glorious coming in the future as King and Judge. In the meantime, “What are we to do?”

In today’s gospel, John the Baptist who was proclaiming a baptism of repentance reminds the people who received baptism to produce the fruits appropriate to their being baptized. On hearing the impending judgment, the crowds, tax collectors, and soldiers all ask, “what should we do?” And John tells them. It is worth noting that his instructions are simple and not even spiritual: To the crowds: "He who has two coats, let him share with him who has none; and he who has food, let him do likewise." To the tax collectors: "Collect no more than is appointed you." To the soldiers: "Rob no one by violence or by false accusation, and be content with your wages." Simply put, John exhorts them to be kind by sharing, to be honest and fair, to work hard and don’t bully.

Note again that John’s exhortations are all within the reach of his listeners. Nothing extraordinary. The prophet invites them to participate and witness in God’s coming kingdom wherever they are and whatever they may be doing-- all of these in the ordinary and mundane activities of their daily lives. They need to allow God to work in the confines of the conditions and situations of their present lives.

This is likewise the invitation for all of us. To allow God to work in all the dimensions of our lives including how we regard each other and our ethical obligations to one another and the world. God’s kingdom, doesn’t manifest itself only in grand actions or heroic deeds but rather, in the simple acts of kindness and generosity, of honesty, and of hardwork.

Let us be challenged more. As Pope Francis has just opened the Jubilee Year of Mercy, our Holy Father invites us to experience God’s mercy and compassion and to live our lives witnessing to it in our daily acts of compassionate and merciful living. We all need conversion-- metanoia, that is, a radical change of mind to a way of thinking and acting that is divine.

In our world that is not perfect, with our conditions are less than ideal, we need to experience this grace and mercy and have it rippled to the persons we encounter. I believe, This is the best way of living in joyful expectation of our Lord.






Prière des Associé(e)s et Ami(e)s eudistes pour le 19 décembre

Entrons de plein cœur dans l’année de la Miséricorde annoncée par le Pape François. Alors que nous nous préparons à la fête de Noël, cherchons à découvrir tout près de nous les signes de cette grande miséricorde de Dieu. Saint Jean Eudes, notre père spirituel, percevait partout les délicatesses du Cœur Miséricordieux de Jésus.

En cette dernière semaine de l’Avent, contemplons Marie en attente de son enfant. Dans son Magnificat, la Vierge loue la miséricorde de Dieu à son égard. Dans un élan spirituel semblable à celui de Marie, Jean Eudes s’écrie : «Que la gloire éclate dans tes miséricordes, dans les merveilles de ton amour! Sois éternellement béni, loué, Glorifié pour tes hauts faits! Que le Père des miséricordes n’oublie pas ton sacrifice. Qu’il accomplisse tous tes désirs !»

En pensant aux gestes de miséricorde du Seigneur dans nos propres vies, prions intensément ce Magnificat composé par saint Jean Eudes.

«Mon âme glorifie le Cœur admirable de Jésus et de Marie, et mon esprit bondit de joie en ce Cœur immense qui est à moi. Grâces infinies pour leurs dons inexprimables.
Il a fait pour moi des merveilles, ce Cœur si bon; il m’a pris pour lui dès le sein de ma mère. L’abime de ma misère appelait l’abime de sa miséricorde.
Ce cœur très doux m’a toujours entouré de ses plus douces bénédictions. Il m’a abrité à l’ombre de
sa main, il m’a gardé comme la prunelle de l’œil, il m’a choisi pour son prêtre, il m’a mis au rang des princes de son peuple; en ma bouche il a mis ses paroles, il en a fait une épée acérée. Il m’a fait mourir, il m’a fait vivre, Il m’a accompagné sur tous mes chemins. Il a combattu tous mes ennemis, et de toutes mes épreuves il m’a délivré.
O Cœur plein d’amour, source de tout bien. De toi me sont venus des bienfaits sans nombre! Louange à toi! A toi l’amour, à toi la gloire! Que toute langue te chante, que tous les cours te chérissent !
Que la gloire éclate dans tes miséricordes, dans les merveilles de ton amour! Sois éternellement béni, glorifié pour tes hauts faits !
Que le Père des miséricordes n’oublie pas ton sacrifice, qu’il accomplisse tous tes désirs! O Cœur de Jésus, sur la croix tu t’es brisé pour nous d’amour et de souffrance; que notre cœur se consume en ton feu pour toujours!
Cœur de Marie transpercé du glaive de la douleur, fais que notre cœur aussi se laisse transpercer par l’amour qui vient de Dieu!
O Cœur de Jésus et de Marie, fournaise d’amour, que nos cœurs en toi s’embrasent pour toujours! Qu’ils meurent dans tes flammes et qu’ils soient pour l’éternité un seul cœur avec le Cœur de Jésus et de Marie!
Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit, au Dieu qui est et qui vient pour les siècles des siècles, Amen.» (Vie et Royaume de Jésus, p.338).

Que nos cœurs et nos esprits se tournent vers Marie qui porte en elle l’Enfant Dieu en méditant avec saint Jean Eudes :

«Il nous faut regarder et adorer son Fils en elle, et n’y regarder et adorer que Lui. C’est ainsi qu’elle veut être honorée, parce que d’elle-même et par elle-même elle n’est rien. Mais son Fils Jésus est tout en elle; Il est son être sa vie, sa sainteté, sa gloire, sa puissance et sa grandeur.»

Nous allons bientôt échanger avec parents et amis des vœux de paix, de bonheur, de justice et d’amour. Puissent ces vœux refléter les orientations qui nous ont été présentées comme essentielles pour tous les membres associés et amis de la Congrégation de Jésus et Marie lors du Congrès de Bogota. Ainsi, prions les uns pour les autres, les uns avec les autres, pour que notre communion dans la charité soit intense et sincère; pour que nos communications soient fréquentes et productives; pour que nos engagements dans nos communautés, et dans l’Église, soient signes de notre participation active à la mission qui nous est confiée. Que puisse naître et grandir en chacun de nous, en ce Noël, l’amour qui nait et brûle éternellement dans les Cœurs de Jésus et Marie. Ce sont les souhaits que vous transmettent chaleureusement les Associés(e)s et les Ami(es) de la région de l’Outaouais (Québec) Canada.