miércoles, 31 de agosto de 2016

22ème dimanche (année C)

28 août 2016

Siracide 3, 17-18.20.28-29

Psaume 68 (67)

Hébreux 12, 18-19.22-24a

Luc 14, 1.7-14

Jeudi, ce sera le 1er Septembre et dans notre pays, ça veut pratiquement dire la fin des vacances. La grande majorité, nous allons reprendre nos activités de toutes sortes: associations diverses, réunions scolaires et catéchèse, services, la Guilde acadienne, etc. Chaque début de septembre est une occasion de "re-départ". On dirait qu'on recommence... et je pense que nous avons à nous demander, en écoutant la Parole, ce matin, comment je vais servir cette année?

La société, comme l'Église,nous le savons, demandent de nombreux bras actifs et intelligents, qui s'engagent pour les autres, comme de «bons serviteurs.» C'est, je crois, ce que nous entendons dans le texte d'Évangile de ce dimanche.

« Il leur dit une parabole »(v.7). Ce texte ne parle pas de recommandations qu'aurait données Jésus ce jour-là, mais d'une parabole. Une"parabole", c'est une observation de Jésus qui se base sur nos façons d'agir, mais pour nous faire changer de niveau. Ici, Jésus veut nous faire comprendre que ce qui se passe parmi nous se vérifie à plus forte raison et autrement dans nos relations avec Dieu.

Jésus nous demande, dans cette page d''Évangile, de prendre la « dernière place », la place du service!

Quand on replace ces paroles dans l'ensemble d'Évangile, nous nous rendons bien compte que Jésus n'a pas fait semblant de prendre la dernière place. Il s’est fait vraiment notre serviteur.

Certains vont lire ici une leçon de morale: ne soyez pas orgueilleux, soyez humbles! Comprise ainsi, la Parole de Jésus risque de ne pas être acceptée dans notre monde. car aujourd'hui, on parle qu'il faut toujours se surpasser, gagner la médaille d'or (les jeux olympiques) et "s'abaisser" est une attitude méprisée, considérée comme dévalorisante: Dans notre monde il ne faut pas démissionner, s'écraser, céder, capituler devant les autres. En même temps on parle assez bien de l'humilité.J'écoutais la semaine dernière, le frère de Penny, la jeune nageuse de Toronto, qui disait qu'il espérait que sa petite soeur demeurerait humble comme elle l'a toujours été...C'est bien mais je pense que cette lecture n'est pas suffisante. Il faut voir plus loin...

Jésus, encore ici, ce matin,nous révèle le Royaume de Dieu... il nous révèle Dieu! Un Royaume à l'envers de tous les autres royaumes, un Dieu à l'envers de celui que nous imaginons souvent. Contemplons donc encore une fois Dieu, en Jésus.

Alors qu’Il aurait eu le droit de «revendiquer le rang qui l'égalait à Dieu» (Philippiens 2, 6), Jésus a choisi de se mettre à la dernière place.

Nous nous rappelons tous, la scène du lavement des pieds, (Jean 13,1ss) où nous avons vu Dieu «en tablier», Dieu « à genoux aux pieds des apôtres », Dieu «lavant les pieds sales» de ces hommes qui représentent l'humanité.

Nous avons vu Dieu au service de tous, car c'était l'image même, à l'avance, de la Croix. Là est la vraie grandeur de Dieu: « Lequel est le plus grand, celui qui est à table, ou bien celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui est à table? Eh bien, moi, je suis au milieu de vous à la place de celui qui sert. » (Luc 22, 26-27).

Prendre la place du service, c'est imiter Dieu.

La raison pour laquelle nous sommes invités à dépasser le jugement défavorable du monde moderne sur les « petits, les pauvres, les humiliés», c'est parce que Dieu est comme ça. Jésus a vraiment pris la dernière place...Qu'est-ce qui justifie les abaissements de Jésus, « jusqu'à la mort, et la mort sur une croix »?

Le sens de cette « dernière place »il faut le chercher au-delà de toute raison: dans l'Être même de Dieu! «Qui me voit, voit le Père » (Jean 14, 9). Quand comprendrons-nous enfin que Dieu est est Amour ? le parfait don de soi? sans aucune réserve, sans aucun repli sur soi? Et la Croix de Jésus c'est, tout simplement, la révélation éclatante de cette réalité de Dieu. Dieu, c'est cet acte suprême
d'amour que nous appelons amour fou, et qui est absolument naturel au Père, comme au Fils, comme à l'Esprit Saint. Dieu ne saurait faire autrement que de Se donner totalement, en prenant la dernière place pour que l'autre ait toute la place! Celui qui sait ce que c'est que d'aimer, peut comprendre cela.

Qui ne sait pas aimer, ne comprendra jamais. Celui qui est le plus serviteur – le dernier –, c'est celui qui est le plus amour !

Et nous ?

En ce début d'année, on attend partout des serviteurs. Parce que Dieu est amour, parce que Dieu est service, les disciples de Jésus, nous devrions être les premiers à nous mettre humblement à la disposition de tant d'engagements dont les autres ont besoin.

Frères et soeurs, .une année de services, d'engagements nouveaux peut-être, est là, devant nous. Vais-je rester dans mon coin en disant que j'en ai assez fait? Vais-je me proposer, me mettre à la disposition de ceux et celles qui attendent quelque chose de moi ?

Prions: Alors Seigneur, toi dont le Fils s’est abaissé jusqu’à prendre notre condition de faiblesse et à mourir sur une croix, accorde-nous, à son exemple, de ne pas chercher les honneurs mais de choisir dans la simplicité du cœur la seule place qui nous revienne : celle de servir nos frères et soeurs comme Jésus, Amen!





Santa Juana Jugan: ¡Una mujer Admirable!: Superior General de los Eudistas


El padre Camilo Bernal celebró la memoria de la fundadora de las Hermanitas de los pobres.

“Celebramos hoy la memoria de una mujer ADMIRABLE, este último término con mayúscula”. De esta manera inició la celebración eucarística el padre Camilo Bernal en la memoria de la santa que perteneció a la denominada Tercera Orden, fundada por san Juan Eudes.

La Eucaristía se celebró en la Capilla dedicada a Jesucristo, Sumo y Eterno Sacerdote, ubicada en el Seminario de Valmaría, en Bogotá y que es una de las casas de formación de los Eudistas de la Provincia de Colombia. Contó con la presencia de la Comunidad Local, presidida por el su Superior, el padre Carlos Álvarez, otros sacerdotes eudistas, los seminaristas que residen en este lugar y los jóvenes del Tiempo Especial de Espiritualidad de la Provincia Minuto de Dios.

Igualmente el padre Camilo enfatizó en su homilía el gran legado espiritual de santa Juana Jugan, quien hizo vida el Evangelio sirviendo a los más pobres y desamparados, entre los que encontramos a los ancianos. Ella “con su silencio y su humildad cumplió a cabalidad las palabras que nos recuerda san Juan Eudes: la madre de todas las virtudes es la humildad. Muéstrenme una persona humilde y les diré que es santa.” (Cf. Vida y Reino, II parte).

Finalmente el padre Superior General de la Congregación de Jesús y María recordó que a ejemplo de santa Juana, el Eudista no trabaja buscando retribución o “subir el estatus, sino que está encendido de amor y es esta su motivación”. Por lo tanto, el silencio de santa Juana cuando fue olvidada injustamente como fundadora de su comunidad y la humildad con que vivió esta realidad nos invitan a poner en práctica esta virtud evangélica.

H. Flórez P.






Aviso: Seminário de vida no Espírito Santo para adultos









God’s Table of Fellowship and Mercy

by: Resty M. Castillo

One of the striking characteristics of Jesus’ Mission is meal fellowship in solidarity with the people who are sinners and poor. He does not eat at the palace with kings, but with the tax collectors and the outcast. We can read the stories in the gospels wherein, after Jesus performs a miracle and preaches, he eats with such people. For example, he eats in the house of Zaccheaus the tax collector after he invites himself to the home of Zacchaeus. Why is it that table fellowship is so significant in the mission of Jesus? It is because it beautifully symbolizes the banquet which God has prepared and to which which everyone is invited, especially the poor and sinners. It is due to the mercy of God that the banquet is being prepared for the lost, the least and the last.

God has prepared special seats for them. These people are always at the corners or edges of the society and have never been given the chance to experience the care and importance within the community. God’s merciful eyes see their miserable state; that's why Jesus came to bring the invitation to a beautiful banquet waiting for us in heaven. In the Gospel today, Jesus has noticed how many proud people want to sit in the place of honor and the poor are left in the corner.

There is really an injustice in the event. Therefore, Jesus uses the parable in order to warn these people who feel righteous like the Pharisees in choosing the place of honor in the wedding banquet. The wedding banquet is being used in the parable to illustrate the kingdom of God. It is not us who decide to choose the best seat but only God. The proud and self-seeking person will realize that there is someone who is a more distinguished guest coming. Because of this presumptuous it will be a cause of great embarrassment when they will be asked to take the lowest place.

This can be a parallel story to Matthew 25:31- 46 about separating the sheep from the goats. It illustrates the last judgment. In this parable Jesus doesn’t provide criteria on how to be included in the banquet, but he only asks us to serve others selflessly or dying for the sake of others. Jesus has already given us the example how when he says “do it in remembrance of me”. Serving others who cannot repay us is what God wants from us is. It is a call to discipleship, a personal following of Jesus. It is therefore important to establish a deep relationship with Jesus in order for us to learn from his example of love, in words and in deeds, so that we too can respond radically to the call to embrace God through the lost and forgotten.

It is God’s revelation to us that in the person of Jesus we encounter God in person. The Lord has given us the way to become more worthy of a place in the banquet in heaven with God. It can be easy if we have humility and a heart that is burning with love for God. Jesus teaches us how to have a heart that reaches out to others, especially the lowly and the lost. In verses 12-13, Jesus teaches us to make the humble act of inviting people that we do not know (the crippled, the lame, the blind and the poor) because they cannot repay us. St. John Eudes recommends to his community that, on the night before the feast of Heart of Jesus, the community opens its door and invites the poor to dine with them.

This is an expression of what John Eudes teaches about the loving mercy of God toward all. And this
act of perfect charity doesn’t expect anything in return and we are not doing it just because of some reward. Rather we do it because we want to grow in the loving example of Christ. The Lord simply reminds us that whenever we do charity, we should do it voluntarily with people who cannot pay back. When we do something for someone, we never expect anything in return. A friend of mine is a devotee of the Black Nazarene. Part of his devotion is to give a big offering during the Mass. However, I was saddened when he told me about his intention in doing so. He is expecting to receive in return than he gave. He is thinking that God is like a bank who will pay back interest. Many of us are like my friend, who is doing good things to expect payback.

This is not what our Lord teaches us. It is not about doing, but rather becoming. We pray because we wish to have a deeper love for God. We go to Mass in order to express our gratitude to God. So, it is necessary to ask ourselves: what is really our intention of doing service for others. Is it for a reward or as a way of imitating Christ. What is our motivation in attending the Mass? Is it an obligation or a devotion to show our love of God more and more? As we are participating in the banquet of the Eucharist, let us ask the Lord for the grace to purify our intentions in whatever we do in life. May the Eucharist also help us to respond to his invitation to a deeper relationship with him through radical and permanent discipleship.





Merci à ND de la Délivrande

Quel beau week-end entre la soirée de prière, la retraite aux flambeaux et la messe du samedi matin.

Juste une averse de 5 minutes pour faire tomber la poussière.

Quelle belle idée d'offrir aux personnes à mobilité réduite la possibilité de participer à la procession !!!

Pour couronner le tout, une robe toute neuve, aux teintes chaudes est arrivée. Une 35ème robe offerte par un groupe de personnes de RI, petit village de l'Orne d'où est originaire la famille EUDES.

Jean EUDES (1601-1680), un des 3 fils de la famille, a aussi quatre soeurs.
C'est lui qui est à l'origine de la création, le 19 mars 1643, de la Congrégation des prêtres de Jésus et de Marie, dite des EUDISTES.





martes, 30 de agosto de 2016

San Juan Eudes, maestro de la vida y el reinado de Dios en nosotros

Como sabemos, aquel pequeño misionero normando del siglo XVII que firmaba siempre “J. Eudes, sacerdote misionero”, nos invita constantemente a reavivar la vida cristiana en nosotros y en nuestro entorno, haciéndonos testigos de la ternura de Dios. Como lo fue él mismo a lo largo de toda su vida.

Como sacerdote, predicó el Evangelio de Jesús durante toda sus largas y fecundas correrías misioneras. Vivió con el deseo constante de despertar la fe y el amor de Dios en las almas. Ese servicio de la palabra corría parejas con un servicio de acompañamiento espiritual de las personas y de las comunidades…

Entre sus muchas obras escribió especialmente una destinada a personas en búsqueda de Dios: ”Vida y Reino de Jesús en las almas cristianas”. Este libro conoció en vida de Juan Eudes, al menos 30 ediciones. “No es un libro de teología espiritual, sino más bien un grueso manual práctico de vida cristiana destinado a todos los fieles, y en primer lugar para los cristianos laicos, para ayudarles a caminar hacia la santidad “continuando y aplicando la vida de Cristo” (P. Milcent)

Este hombre, con corazón de fuego y apasionado por hacer conocer el evangelio, tenía el acuciante deseo de “hacer amar a su muy querido Jesús, servir a la Iglesia de Jesús, restablecer la gracia, el espíritu y la vida del cristianismo que está apagado, hoy en las mayor parte de los cristiano”. Y aunque en su tiempo todo el mundo estaba bautizado, él se dio cuenta, en el transcurso de sus misiones, de que había una gran ignorancia sobre este sacramento. Como la hay en nuestro tiempo.

Presentaba el bautismo como un Contrato del hombre con Dios. Contrato en el que, con una mirada de amor para cada uno de nosotros. Jesús, el Hijo, nos hace participar en su vida; el Espíritu Santo, o más exactamente, el Espíritu de Jesús, se nos da para ser el espíritu de nuestro espíritu, el corazón de nuestro corazón.

Se trata de una Alianza más maravillosa, nos dice San Juan Eudes, la del amigo con su amigo, los hermanos con sus hermanos, el niño con su padre, la esposa con su esposo. Pero esta alianza nos compromete también a nosotros con Dios. Para vivir en conformidad con nuestro bautismo, es necesario renunciar a todo lo que es obstáculo a la vida de Cristo en nosotros, y vincularnos a Él: “Ser cristiano es hacer profesión de Jesucristo, vivir de su vida, ser animado por su espíritu”.

En Vida y Reino Juan Eudes recuerda a todos los cristianos, laicos, sacerdotes, religios@, que nuestra vocación es la santidad: “Ser cristiano y ser santo es la misma cosa; cualquiera que lleva el nombre de cristiano está obligado a seguir a Jesucristo en la santidad de su vida y sus costumbres”.

Eso es lo mismo que nos ha dicho el Vaticano II cuando habla, en el nº 10 de la Lumen Gentium, dela llamada universal a la santidad. Y Juan Eudes insiste en que la santidad no consiste en no tener pecado sino en corresponder a la llamada de Dios con y en nuestra vida. El Bautismo es para nosotros una llamada a la santidad “porque ser cristiano, es continuar la vida de Cristo en nosotros”, llegar a ser la imagen viva de Jesús. Y estar bautizado es hacerse manos, mirada, rostro y boca de Jesús en cada instante, hagamos lo que hagamos.


Juan Eudes nos proporciona medios sencillos para renunciar a nosotros mismos y darnos a Jesucristo y dejar que él crezca en nosotros. Siguiendo a Pablo, afirma que la meta es que “Jesús sea formado en nosotros”, y que nosotros nos demos prisa en llegar a ser su imagen viva en nuestro aquí y ahora. Y nos propone algunos ejercicios “para vivir cristianamente y santamente” cada etapa del año y santificar nuestro tiempo.

Así, poco a poco, cada uno(a) de nosotros y todos juntos, seremos, paso a paso, otros tantos Cristos, como dijera mucho antes que él, San Agustín de Hipona, afirmación a la que Juan Eudes supo darle un sentido y un alcance más profundo y exigente. Ojalá que nuestros corazones se dejen penetrar también por ese fuego apasionado que lo distinguió durante toda su vida.





2016 St. John Eudes Volunteer Service Awards

This year’s Volunteer Service Awards were awarded at the 11:00 AM mass last Sunday. The awards are a yearly event celebrated on or near the Solemnity of St. John Eudes. These awards are presented to individuals and ministries who have served the Parish and School over an extended period of time and exemplify what is best in those dedicated to serving God and His people

Lifetime Service Award – St. John Eudes Medal

The 2016 Lifetime Service Award was awarded to John Chady.

John is one of the Founders, and has been active in St. John Eudes parish ministries and services for 52 years. Some of the ministries and activities he has supported are CCD/Religious Education, Youth Ministry, Lectors, Eucharistic Ministers, Facilities Committee, and the after school tutoring program
John also began the Bereavement Support Group, which is now in its 8th year.

Other activities and organizations he has been an integral part of are Men’s Fellowhship, Holy Name Society, World Prayer Community and a longtime member of the Knights of Columbus. John was also editor of the parish newspaper, “The Heartline”, for eight years. John exemplifies the Corporal Works of Mercy “to feed, clothe and shelter the homeless” and has given invaluable assistance to the poor and homeless in our neighborhood. John is a living example of how to live our faith with devotion, love and service to others.

Certificates of Appreciation

The Narong and Virginia Tanawong & the Hospitality Team

St. John Eudes church has a reputation for hospitality, but what many parishioners may not know is the degree to which this is underpinned by the service given by Narong and Virginia Tanawong and their hospitality team. Whenever there is an event that involves food – funeral receptions, ministry meetings, special events or parish celebrations - you will find Virginia and Narong tirelessly leading their team in the preparation and service of the food.

While the Multicultural Mass is a team effort, the team has been ably led by Narong and Virginia for
many years, and is now a much anticipated and loved liturgy. They also have led parish teams to work at the Catholic Worker kitchen in downtown Los Angeles, spearheaded the parish service day at MEND and been an integral part of Sunday hospitality and Sandwich Sunday. Another of their projects is the Catholic Relief Services Rice Bowl.

They put into action the words of St. Teresa of Avila who said that God “has no body but ours and no hands but ours so we must act for Him.”

The SJE Facilities Committee

The men of the St. John Eudes Facilities Committee are the unsung, invisible heroes of St. John
Eudes Church. Their skills and talents have saved the church and school uncounted thousands of dollars in plumbing, electrical, cabinetry and general maintenance work.

The committee has built and installed many features at St. John Eudes church and school: the rails on the predella used by the Eucharistic Ministers; the rails on the Cantors platform; the electromechanical controls that the Liturgical Ministers uses to raise and lower the crucifix; the Unity Candle Stand used at weddings; the Advent Candle Stand; the beautiful new cabinet for storage of holy oils; construction of new desks and counters for the Parish Office; construction of a new stand for the Infant Jesus of Prague, construction of a new platform for the fountain in the Plaza, and maintenance of the Memorial Garden.

They are involved in continued work to maintain the school and Parish which results in keeping the activities of the parish community running smoothly, thereby enhancing the liturgies, social and spiritual life of St. John Eudes Church.





Gaëtan Lormel. C'est la rentrée pour l'apprenti curé

Originaire de Pléven, Gaëtan Lormel, 39 ans, se prépare pour sa rentrée au séminaire de Rennes, le 12 septembre. ©

Ex-ouvrier agricole, Gaëtan Lormel a repris les études pour devenir prêtre. Passionné de danse bretonne, l'apprenti curé âgé de 39 ans entre en quatrième année, au séminaire de Rennes.


L'agriculture, la danse et la foi. C'est sa Sainte Trinité à lui. À 39 ans, Gaëtan Lormel s'apprête à reprendre le chemin de l'école, au séminaire, à Rennes. Le 12 septembre, l'ex-ouvrier agricole passionné de danse bretonne réalisera sa quatrième rentrée en tant qu'apprenti curé. Le futur prêtre confesse ses hésitations passées, à présent dissipées.

« Amoureux des vaches »

« Mes parents ? Croyants par tradition », présente Gaëtan Lormel, résidant à Saint-Symphorien, en Pléven. Engagé dans sa paroisse de campagne, le trentenaire se dit par ailleurs « amoureux des vaches » qu'il découvre tout-petit, grâce à un voisin agriculteur, Jean-Pierre. Voisin qui lui fera également découvrir la danse bretonne, en fest-noz et au sein du groupe folklorique jugonnais La Rosargue. Passionné de ruralité, le jeune Gaëtan, fils d'un ouvrier chauffeur et d'une couturière, se destine alors à devenir exploitant agricole. Bac pro en poche, obtenu en 1995 au lycée agricole de Caulnes, le jeune homme est ensuite salarié dans un élevage de veaux, à Pluduno, avant de partir faire son service militaire à Dinan.

« Un mois sans parler »

De retour à la vie civile, Gaëtan retrouve ses activités agricoles, notamment comme agent de fabrication d'aliment pour élevage, à Yffiniac. Sans vraiment se poser de question, jusqu'à ce 3 février 2009, 16 h. « J'étais élu municipal de Pléven, et chargé d'inviter Mgr Fruchaud, pour l'inauguration des travaux réalisés dans notre église. L'évêque me dit alors : " il est bien de rénover la petite église de son village, mais il faut penser à la rénovation de l'église universelle. Gaëtan, as-tu pensé à devenir prêtre ? " Tu parles d'une question embarrassante. J'y pensais, depuis longtemps, mais j'avais fui cette question, qui me dérangeait énormément », se remémore Gaëtan, qui se laissera quelque temps de réflexion, avant d'entreprendre une année de préparation au séminaire, dite « propédeutique ». « On a notamment passé un mois sans parler, en Ardèche, sans portable ni journal. Après cette mise à l'épreuve, j'ai eu la conviction que je voulais être prêtre », indique Gaëtan, qui goûte à nouveau à la vie de salarié agricole pendant encore un an, et se lance en septembre 2013, au séminaire Saint-Yves, à Rennes.

« Platon et Aristote, mes nouveaux potes »

« J'avais peur de reprendre des études, c'était un frein. Une prof était étonnée que je ne connaisse pas le linguiste de Saussure... Mais je n'ai pas gardé les vaches avec lui ! J'ai aussi découvert la philo, Platon et Aristote sont devenus mes nouveaux potes.

C'est du travail, mais l'aventure vaut le coup. Je n'ai jamais été aussi heureux », sourit le séminariste en vacances, de retour des JMJ de Cracovie, où il a notamment pu éprouver « la compassion des autres nations », au lendemain de l'assassinat du prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray (76). Peu sujet à la crise de foi, Gaëtan a un souhait, à l'issue de ses six années d'études : « devenir prêtre au service du diocèse de Saint-Brieuc ». Sans pour autant se départir de la passion qu'il a chevillée au corps, la danse.
Danse mal vue par l'Église, dans des temps pas si anciens. Les institutions religieuses n'ont-elles d'ailleurs pas donné son surnom à l'accordéon, la « boîte du diable » ? Mais qu'importe, le danseur apprenti prêtre n'en a cure.




Santa Juana Jugan: Fundadora de las Hermanitas Pobres


 (29 de agosto)-Biografía de una santa que se relaciona directamente con la espiritualidad eudista

Nació en Cancale (Bretaña, Francia), el 25 de octubre de 1792, en plena tormenta revolucionaria. Fue la sexta de una familia de ocho hijos. Su padre, pescador, como la mayoría de los hombres de su región, desapareció en el mar cuatro años más tarde. Su madre se quedó sola para mantener y educar a sus cuatro hijos (otros cuatro habían fallecido de pequeños).

De su madre y de su tierra natal Juana heredó una fe viva y profunda, un carácter firme, una fuerza de alma que ninguna dificultad podía hacer titubear. Como consecuencia del clima político y de las dificultades económicas, Juana no pudo ir a la escuela. Aprendió a leer y a escribir gracias a las terciarias eudistas, muy extendidas en la región, que le enseñaron el catecismo. Siendo aún niña, rezaba el rosario mientras guardaba el ganado en los altos acantilados que dominan la bahía de Cancale, en un marco de belleza que eleva y engrandece el alma. De vuelta a su casa, ayudaba a su madre en las tareas domésticas. A los 15 años, se iba a trabajar a cinco kilómetros de Cancale a una casa señorial; junto con la propietaria salía al encuentro de los más necesitados. Al ser ella misma pobre, percibía la humillación que sentían los pobres a los que "asistía".

Juana tuvo la certeza de que Dios la llamaba a su servicio. Por eso dejó sin esperanza a un joven marinero que la pidió en matrimonio y al que dijo: "Dios me quiere para él. Me reserva para una obra desconocida, para una obra que aún no está fundada". Trabajó durante seis años de ayudante-enfermera, e ingresó en la Tercera Orden del Corazón de la Madre Admirable (eudista), donde descubrió el cristianismo del corazón: "No tener más que una vida, un corazón, un alma, una voluntad con Jesús". Hizo la experiencia de una vida a la vez activa y contemplativa, centrada en Jesús. Desde entonces, sólo tenía un deseo: "Ser humilde como lo fue Jesús". Por motivos de salud, dejó el hospital y fue acogida por una amiga terciaria, la señorita Lecoq, a la que sirvió durante doce años, hasta su muerte en 1835.

Una tarde de invierno de 1839, Juana encontró a una pobre anciana, ciega y enferma, que acababa de quedarse sola. Conmovida, sin dudar un segundo, la tomó en sus brazos, le dio su cama y ella se instaló en el desván. Esta fue la chispa inicial de un gran fuego de caridad. A partir de entonces, nada la detuvo. En 1841 alquiló un local en el que acogió a doce ancianas. Varias jóvenes se unieron a ella. En 1842, adquirió —sin dinero— un antiguo convento en ruinas, donde muy pronto albergaría a cuarenta ancianos. Para poder hacer frente al problema económico y animada por un Hermano de san Juan de Dios, salió a la calle con un cesto en el brazo, se hizo mendiga para los pobres y fundó su obra confiando en la Providencia de Dios. En 1845, recibió el premio "Montyon", que la Academia Francesa otorgaba como recompensa al "francés pobre que haya hecho durante el año la acción más virtuosa". Siguieron las fundaciones de Rennes y Dinan en 1846, la de Tours en 1847, la de Angers en 1850, por mencionar sólo aquellas en las que Juana participó, ya que pronto la congregación se extendió por Europa, América y África y, poco después de su muerte, por Asia y Oceanía.

En 1843, cuando Juana volvió a ser elegida superiora, el padre Le Pailleur, consejero desde los comienzos de la obra, inesperadamente y con su sola autoridad anuló la elección y nombró a Marie Jamet (21 años) en su lugar. Juana vio en ello la voluntad de Dios y se sometió. Desde ese momento y hasta 1852, sostuvo su obra por medio de colectas, yendo de casa en casa, animando con su ejemplo a las jóvenes hermanas sin experiencia, y obteniendo las autorizaciones oficiales necesarias para el desarrollo del instituto.

En 1852, el obispo de Rennes reconoció oficialmente la congregación y nombró al padre Le Pailleur superior general de la misma. Su primer acto fue llamar definitivamente a Juana Jugan a la casa madre, donde vivió retirada los últimos veintisiete años de su vida. ¡Misterio de ocultamiento! Durante todo ese tiempo, las jóvenes hermanas ni siquiera sabían que ella era la fundadora. Pero Juana, viviendo entre las novicias y postulantes, cada vez más numerosas a causa de la extensión de la obra, transmitía con su serenidad, su sabiduría y sus consejos el carisma de la congregación que ella había recibido del Señor.

Murió el 29 de agosto de 1879, después de haber pronunciado estas últimas palabras: "Padre eterno, abrid vuestras puertas, hoy, a la más miserable de vuestras hijas, pero que tiene un deseo tan grande de veros... ¡Oh María, mi buena Madre, ven a mí! Tú sabes que te amo y cuánto deseo verte".

La congregación contaba entonces con 2400 religiosas y 177 casas repartidas en tres continentes. "Si el grano de trigo caído en tierra no muere, queda solo; pero si muere, da mucho fruto".

Fue beatificada por el siervo de Dios Juan Pablo II el 3 de octubre de 1982 y canonizada el 11 de octubre de 2009 por el papa Benedicto XVI.

Fuente principal:
(L'Osservatore Romano, Edición semanal en lengua española - Año XLI, n. 42 - 16 de octubre de 2009)

H.Flórez P.




lunes, 29 de agosto de 2016

Inscrição: Crisma 2017






Christian, Where do You Come From?

by: Bro. Ron Calderon

Have you ever attended an exclusive party or entered an exclusive night club full of VIPs? Honestly, I never attended such an event but at some point in my life, I got curious of those exclusive parties. As a child I imagined about these parties and maybe they are filled with beautiful people wearing beautiful and expensive gowns and suits. Maybe those glamorous occasions were restricted to members who can afford to pay exorbitant fees. I can only imagine these things for I came from simple beginnings and has lived a simple life since.

Could we think of salvation as an exclusive party? The gospel describes it like a party with a very restrictive entrance. Jesus described salvation having a narrow door to which many will try to enter but will be deemed unworthy. It will be closed to those who “do not know where they came from.” Here Jesus sounds stern and serious but is he really very strict? Is God exclusive and selective in considering who he will invite to join the eternal banquet?

From the psalm for today (Ps 117), the shortest psalm in the Bible, it is clear that God abounds in love and mercy. God’s faithfulness to his people endures beyond his peoples’ existence. We also see in Luke and Isaiah that God’s love and mercy is universal.

In the first reading from the last chapter of Isaiah, God promises not only to Israel, his poeple, a final resting place full of abounding love at the end of time. He is intent to come to gather nations of every language in order for peoples to share ultimately in his glory. Luke in the gospel reading today also indicates that people from the “east and west, and from north and south” will “sit at the table in the kingdom of God.” God does not discriminate whom to invite to his kingdom. His invitation to salvation is indeed for all peoples.

But how do we make sense of the “narrow gate”?

Come to think of it, God’s call for all to be his flock entails that we follow his Son. Though easier said, to follow Jesus is not an easy way for many. Jesus asks us to love our enemies and turn our cheek. He asks that we free ourselves from our earthly attachments. Many times I faltered in this respect, how about you?

Furthermore, we cannot easily mold our hearts into the heart of Christ. Acquiring a heart of a lamb in the fold of the father requires constancy and discipline in loving. Christ’s knows that humans can get easily distracted by temptation and sin and could easily forget who they really are and where they came from. Nevertheless, God’s Word keeps on reminding us that we are God’s children.

So by any chance, if we arrived at the gate of heaven with a heart still clinging to those that led us away from God’s love, how can God claim us as His own? Aren’t we judged by our very own actions on earth? On the contrary, if we never get tired of following Christ and growing in a loving relationship with God through the guidance of the Holy Spirit, how can our Heavenly Father not know where we come from when we arrive at heaven’s gate?

God did not make heaven an exclusive party. God loves us and would like us to join the eternal banquet. He will only ask that we know deep in our hearts where we come from.





viernes, 26 de agosto de 2016

San Juan Eudes y El Sacerdocio de Cristo

Adoremos a Jesús en su cruz, como soberano sacerdote que se inmola a sí mismo, y como hostia santa que es inmolada para la gloria de su Padre y para nuestra salvación.

Démosle gracias por haberse sacrificado a sí mismo, y por habernos comunicado estas dos cualidades de sacerdote y de hostia. Pidámosle perdón por todas las faltas que hemos cometido en las funciones del sacerdocio.

Démonos a Él y supliquémosle que nos dé el Espíritu de su divino sacerdocio; que nos haga dignos de ser otras tantas víctimas que sean sacrificadas con Él a la gloria de su Padre, y que nos consuma en las sagradas llamas de su santo Amor.

(San Juan Eudes, O.C. III, 293)

EL SACERDOTE ASOCIADO A LA SANTÍSIMA TRINIDAD

Los contemplo como los asociados del Padre, y del Hijo y del Espíritu Santo. Ustedes, sacerdotes, son la parte más noble del cuerpo místico del Hijo de Dios. Son los ojos, la boca, la lengua y el corazón de su Iglesia, más aún, del mismo Jesús.

Son sus ojos: mediante ustedes el Buen Pastor vela continua- mente sobre su rebaño; por ustedes lo ilumina y lo conduce, por ustedes llora sobre las ovejas que se hallan entre las garras del lobo infernal.

El Padre eterno los asocia con él en su más alta ocupación, que es la generación inefable de su Hijo, a quien hace nacer desde toda eternidad en su seno paterno, y en su más excelente cualidad que es su divina paternidad. Porque los hace, en cierta manera, padres de su Hijo al darles el poder de formarlo y hacerlo nacer en las almas cristianas y al hacerlos padres de sus miembros que son los fieles. Así ustedes llevan la imagen de su divina paternidad. El Hijo de Dios los asocia con Él en sus más nobles perfecciones y ocupaciones. Porque los hace partícipes de su cualidad de mediador entre Dios y los hombres; de su dignidad de juez soberano del universo; de su nombre y oficio de salvador del mundo y de muchos otros títulos suyos. Y les da el poder de ofrecer con Él, a su Padre, el mismo sacrificio que ofreció en la cruz y que ofrece cada día sobre nuestros altares, que es su acción más santa y excelsa. El Espíritu Santo los asocia con Él en su acción más grande y admirable. Porque él ha venido al mundo para disipar las tinieblas de la ignorancia y del pecado que cubrían la tierra, para iluminar los espíritus con la luz celestial, para encender los co- razones en el fuego sagrado del amor divino, para reconciliar a los pecadores con Dios, para borrar el pecado, comunicar la gracia, santificar las almas, fundar la Iglesia, aplicarle los frutos de la pasión y muerte de su Redentor y, en fin, para destruir en nosotros nuestra antigua condición pecadora y dar forma y nacimiento a Jesucristo.

Pues bien, todo esto es su ocupación ordinaria como sacerdotes, porque han sido enviados por Dios para formar a su Hijo Jesús en los corazones humanos. Tienen, pues, una alianza maravillosa con las tres divinas personas: son los asociados de la santa Trinidad; son los cooperadores del Dios todopoderoso en sus obras más excelentes.

(San Juan Eudes, Memorial de la vida eclesiástica 1: O.C. III, 14-16.)

Oración final

Dios, Gloria de nuestros sacerdotes, Tú nos has dado a tu Hijo como Soberano Sacerdote y Pastor vigilante de nuestras almas; Tú le has agregado, para sacrificar una hostia pura, los santos sacerdotes.

Por la oración de la Bienaventurada María siempre virgen y de los santos Sacerdotes, dígnate reanimar en tu Iglesia el espíritu de gracia que fue el tuyo. Llenos de este espíritu, procuraremos amar lo que ellos amaron y obrar como nos lo enseñaron por la palabra y por el ejemplo. Por nuestro Señor Jesucristo. Amén.

(San Juan Eudes, O.C. XI, 514)




MÉDITATION : Avec Marie, demeurer attentifs aux choses d’en haut

Pour Mgr Luc Crepy, évêque du Puy-en-Velay, la fête de l’Assomption nous rappelle que Marie nous précède dans la pleine et joyeuse union au Christ ressuscité.

Le terme « assomption » – à ne pas confondre avec l’Ascension du Christ – vient du latin assumere qui signifie prendre, enlever. Marie fut « enlevée au ciel en corps et en âme » (1). Ainsi, la prière d’ouverture de la messe de ce jour nous dit : « Dieu éternel et tout-puissant, toi qui as fait monter jusqu’à la gloire du ciel, avec son âme et son corps, Marie, la Vierge immaculée, mère de ton Fils ; fais que nous demeurions attentifs aux choses d’en haut pour obtenir de partager sa gloire. »

Un éclat unique

Demeurer attentif aux choses d’en haut en célébrant cette grande fête mariale, telle est la prière de l’Église. Marie entre dans la gloire de Dieu avec tout ce qui fait son existence de femme, avec sa foi et sa confiance indéfectible en Celui qui a fait des merveilles pour son humble servante (Lc 1, 48). La gloire de Dieu se reflète dans notre monde, qu’Il a tant aimé (Jn 3,16), et transfigure ce qu’il y a de beau et d’aimant dans notre humanité. Le mystère de l’Incarnation – « En Jésus, Dieu s’est incarné, il est devenu homme comme nous, et ainsi, il nous a ouvert la voie vers son Ciel, vers la pleine communion avec Lui » (2) – trouve dans l’Assomption de Marie un éclat unique : la Vierge, en qui Dieu a pris corps et visage humains, entre dans la vie de son Fils, « premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis » (1 Co 15, 20). L’entrée définitive de Marie, corps et âme, dans la gloire, est pour nous le signe que tout ce qui fait notre humanité est irrésistiblement appelé à se tourner vers « le haut ».

Mais ne nous trompons pas, chercher les « choses d’en haut » n’est pas se détourner des contingences de la vie de tous les jours ou tomber dans un idéalisme religieux d’où l’ombre de la Croix serait absente. Sans cesse dans le quotidien, souvent si chargé, de nos vies, il est nécessaire de nous recentrer sur ce qui est le plus important, sur ce qui nous anime et nous fait vivre. Le chemin, que trace la venue de Dieu parmi nous en Jésus, nous offre, dans la foi, de donner aux « choses de notre vie » un sens et une espérance. Marie conservait tout dans son cœur (Lc 2,51) : comme elle, nous sommes, de jour en jour, appelés à intérioriser cette bonne nouvelle de la proximité et de l’amour de Dieu révélés en son Fils.

L’Évangile, « navigateur » de nos vies

Ainsi, loin de nous éloigner du monde où bien des conversions et des combats sont à mener, tourner notre regard vers « le haut », c’est inscrire dans l’ordinaire de notre existence l’Évangile, dans sa force et sa nouveauté… c’est permettre à l’Évangile de devenir le « navigateur » de nos vies, comme disait le pape François aux jeunes à Cracovie.

Dans la dynamique même de l’Incarnation, l’attention aux choses d’en bas et l’attention aux choses d’en haut se mêlent et s’entremêlent pour ne faire qu’une seule trame où Dieu, seul, cerne les fils et les nœuds. Dans l’Évangile de Luc (Lc 1, 39-56), après l’annonce de l’ange, Marie se rend rapidement chez sa vieille parente Élisabeth. Celle-ci s’écrie : « D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? », reconnaissant en cette simple jeune fille, celle qui porte le Fils du Très-Haut. Marie, à son tour, exulte de joie : le Très-Haut, dans sa miséricorde, se penche sur les petits, renverse les puissants et élève les humbles. Dans l’heureuse salutation de ces deux femmes et dans leur maternité porteuse d’espérance pour tous, le Salut s’écrit de manière si humaine, si belle et si simple… C’est ce qui touche tant de pèlerins, venant prier et fêter Marie en ce jour du 15 août, dans mille et un petits et grands sanctuaires !

Deux cœurs unis

Finalement, la fête – le dogme – de l’Assomption nous rappelle que Marie nous précède dans la pleine et joyeuse union au Christ ressuscité. Cette union au Christ commence dès maintenant - dans et par notre vie de baptisés. Saint Jean Eudes ne cessait d’affirmer combien méditer sur la vie de la Vierge Marie et la prier nous fait prendre conscience que la gloire de Marie réside dans l’union à son Fils, dans l’union de leurs deux cœurs. Ainsi : « il faut honorer Jésus en elle, et elle en Jésus…il nous faut regarder et adorer son Fils en elle, et n’y regarder et adorer que lui. Car c'est ainsi qu'elle veut être honorée, parce que d'elle-même et par elle-même elle n'est rien, mais son Fils Jésus est tout en elle : il est son être, sa vie, sa sainteté, sa gloire, sa puissance et sa grandeur » (3). C’est en laissant le Christ prendre place en nos vies et en nos cœurs que nous empruntons le même chemin que Marie, elle qui nous précède dans la vie sans fin de l’amour du Père.

Mgr Luc Crepy (Évêque du Puy-en-Velay) 


(1) Pie XII, Munificentissimus Deus, 1950.

(2) Benoît XVI, Audience du 9 janvier 2013.

(3) Saint Jean Eudes, Œuvres complètes I, p. 338.





Saint Jeanne Jugan Walked the Talk on Mercy

During this Year of Mercy Pope Francis has encouraged us to practice the corporal and spiritual works of mercy with new enthusiasm. A member of my community recently noted how blessed we are as Little Sisters of the Poor to have multiple opportunities each day to practice mercy — serving meals to the elderly, bathing and dressing those who need assistance, comforting those who are sad or lonely, keeping vigil with the elderly who are dying and accompanying them all the way to the grave.

Saint Jeanne Jugan, who brought our Congregation to birth when she offered her home and her heart to a homeless elderly woman, is our inspiration and example in the practice of mercy. Each time I enter our chapel I pass an icon of our foundress with two elderly residents; this image reminds me of her kindness and compassion toward the poor. Inside the chapel there is another image, a statue depicting Jeanne Jugan sitting alone in a posture of prayer. This image reminds me of how she practiced the spiritual works of mercy in a profound way, especially when she was deprived of her role as foundress and forced into the shadows.

Although Jeanne had been legitimately elected superior by her companions, in 1843 she was removed from office by a priest who served as the community’s advisor. She was recalled to the motherhouse in 1852 and spent twenty-seven long years there in forced retirement, enduring an obscurity so extreme that the young members of her congregation eventually had no idea that she was the foundress. Although she was no longer able to participate directly in our mission of hospitality, Jeanne continued to practice mercy in two remarkable ways.

First, she played a unique role at our motherhouse, even as she grew increasingly frail in her old age. Among the young novices Jeanne practiced the spiritual works of mercy by instructing the ignorant, counseling the doubtful and fervently praying for others. As she gave them moral support, practical advice and spiritual counsel they felt loved by her, and in return, loved her as a mother. Several Little Sisters ultimately attributed their perseverance to her.

Many of the young Sisters who knew Jeanne Jugan admired her spirit of faith and her profound humility, but the most striking example she gave them was the way she bore wrongs patiently and willingly forgave those who treated her unjustly. Placed in a similar situation, most of us would fight back, considering it a matter of justice to reclaim our rightful place, or at least to let others know about the wrongs committed against us. But in the case of Saint Jeanne Jugan, there is not a single recorded instance of her trying to set the record straight or assert her legitimate authority. Among the numerous testimonies collected in view of her canonization there is just one incident in which she told the priest responsible for her deposition, “You have stolen my work — but I give it to you willingly!”

Such was Saint Jeanne Jugan’s practice of the spiritual works of mercy. Her humility and long-suffering were truly heroic — the stuff of saints! What was the secret to her sanctity? Jeanne found consolation and courage in the merciful heart of Jesus, gentle and humble of heart. She saw her life as a continuation of his and, out of love for him, tried to incarnate his merciful love for the poor. Inspired by her love for Christ, she also bore her share of his cross joyfully until death.

As I write this reflection we are preparing for our annual celebration of Saint Jeanne Jugan’s feast day on August 30. During this month I invite you to visit our website to learn more about our foundress (http://www.littlesistersofthepoor.org), and to confide your needs and intentions to her by submitting a prayer request — especially if you feel burdened by any type of misunderstanding or injustice. Saint Jeanne Jugan will understand your anguish and help you to follow the way of the cross with courage, patiently bearing with wrongs and forgiving those who cause you suffering. She walked the talk all the way to sainthood and can help lead you there too!


by Sr. Constance Veit, l.s.p.




Al Servicio de la Evangelización con la Fuerza del Espíritu


La Congregación de Jesús y María, la Congregación de Nuestra Señor de la Caridad del Buen Pastor y la Sociedad del Corazón de María, celebran el 19 de agosto la fiesta de su fundador San Juan Eudes, Padre Doctor y Apóstol del Culto litúrgico a los Corazones de Jesús y de María. A continuación reproducimos el pensamiento del Padre Rafael García Herreros, sacerdote perteneciente a la escuela de santidad fundada por el sacerdote francés, maestro espiritual de la congregación a la que perteneció el fundador del Minuto de Dios.

La Congregación de Jesús y María tiene por fundador a un hombre que fue esencialmente evangelizador.

Toda la vida de san Juan Eudes, fue evangelización incansable, fruto de una larga preparación de profundas súplicas al Espíritu Santo y de una fuerza carismática realmente admirable que penetraba todo su ser.

Los pueblos de Normandía, las grandes ciudades de Francia, París, la Corte Real, las aldeas, por todas partes se oyó su palabra penetrante y conmovedora, que llevaba un excepcional mensaje de conversión y de amor a Cristo. Juan Eudes conformó una comunidad ante todo evangelizadora, como
dice la Constitución: “Los Eudistas consagran todas sus fuerzas al servicio de Cristo y de su Iglesia, trabajando mediante las diversas funciones del ministerio, la oración y el testimonio de su vida, en la proclamación del Evangelio, para despertar la fe” (Cap. I, Numeral 5).

El caso de san Juan Eudes es realmente impresionante. Era una vida de amor a Jesucristo continua, sin interrupción, una vida de plegaria, de cada momento. Una vida apostólica por ejemplo, por la conversación, por la predicación.

Era toda una fuerza poderosa del Espíritu que le invadía para llevar el mensaje. Las palabras que escribió Pablo VI en Evangelii Nuntiandi se cumplieron superabundantemente en san Juan Eudes: “La Buena Nueva proclamada por el testimonio de vida, deberá ser tarde o temprano proclamada por la Palabra de Vida. No hay evangelización verdadera mientras no se anuncie el Nombre, la doctrina, la vida, las promesas, el reino, el misterio de Jesús de Nazaret, Hijo de Dios” (No. 22).

Cuando vemos este ejemplo tan excepcional y tan atractivo de entrega total de san Juan Eudes a proclamar el Evangelio, cuando tomamos conciencia de que ésta es la misión de los Eudistas, no podemos menos de anhelar para nosotros una fuerza nueva, poderosa, transformación del Espíritu Santo en nuestras vidas, para que seamos verdaderos proclamadores del Evangelio de Cristo. “Vayan por todo el mundo y prediquen el Evangelio a toda creatura” (Mc 16,15). Juan Eudes conocía la Biblia como pocos, era su libro amado; su lectura principal era el Nuevo Testamento.

Ahí descubrió los tesoros del amor de Jesucristo y el misterio de su Corazón. Juan Eudes tiene una actualidad sorprendente y una afinidad profunda con este tiempo de renovación en el Espíritu Santo.

La Comunidad de los Eudistas está llamada a ser ante todo evangelizadora con la fuerza del Espíritu. La comunidad de los Eudistas presenta a los jóvenes deseosos de vida evangélica y de llevar el Evangelio a todas partes una oportunidad incomparable y campos insospechados.

La figura de san Juan Eudes es una exigencia tremenda para nosotros los Eudistas, un ideal que no es inalcanzable, que debemos tratar todos de apropiar con el poder del Espíritu Santo.

Juan Eudes fue el maravilloso sacerdote del siglo XVI que cubrió a Francia, y que descubrió caminos intransitados de amor, de adoración, de alabanza, de plegaria continua.

Tomamos conciencia de que ésta es la misión de los Eudistas, no podemos menos de anhelar para
nosotros una fuerza nueva, poderosa, transformación del Espíritu Santo en nuestras vidas, para que seamos verdaderos proclamadores del Evangelio de Cristo. “Vayan por todo el mundo y prediquen el Evangelio a toda creatura” (Mc 16,15). Juan Eudes conocía la Biblia como pocos, era su libro amado; su lectura principal era el Nuevo Testamento.

Ahí descubrió los tesoros del amor de Jesucristo y el misterio de su Corazón. Juan Eudes tiene una actualidad sorprendente y una afinidad profunda con este tiempo de renovación en el Espíritu Santo.

La Comunidad de los Eudistas está llamada a ser ante todo evangelizadora con la fuerza del Espíritu. La comunidad de los Eudistas presenta a los jóvenes deseosos de vida evangélica y de llevar el Evangelio a todas partes una oportunidad incomparable y campos insospechados.

La figura de san Juan Eudes es una exigencia tremenda para nosotros los Eudistas, un ideal que no es inalcanzable, que debemos tratar todos de apropiar con el poder del Espíritu Santo.

Juan Eudes fue el maravilloso sacerdote del siglo XVI que cubrió a Francia, y que descubrió caminos intransitados de amor, de adoración, de alabanza, de plegaria continua.

Que no dejó ocasión ni oportunidad de hablar de Jesucristo. Su propósito de evangelización, su propósito de existir, está sintetizado en estas palabras suyas: “Jesucristo debe vivir en nosotros, y nosotros en Él sólo existir. Su vida debe ser nuestra y ésta una continuación y un reflejo de la suya. No tenemos derecho de vivir sobre la tierra sino para llevar, manifestar, santificar, glorificar y hacer vivir en nosotros el nombre, la vida, las cualidades, las perfecciones, los designios e inclinaciones, las virtudes, las acciones de Jesús (Vida y Reino, Cap. 1).

Juan Eudes fue evangelizador y fundó la comunidad como evangelizadora para siempre, siguiendo el impulso del Espíritu en cada época.

Un verdadero Eudista según san Juan Eudes debe ser ante todo evangelizador de Jesucristo: “Los Eudistas se sienten llamados a anunciar el mensaje evangélico para hacer del género humano la familia del Padre, en la que la plenitud de la ley es el amor” (Const. Cap. 2, Vers. 11).

El Eudista debe ser el hombre que arda de amor a Cristo y lo comunica a sus vecinos y a sus lejanos, usando todos los medios que tenga a su alcance. Actualísima la vocación de los Eudistas: evangelizar con sinceridad, con entusiasmo, con el ardor carismático de los Hechos Apostólicos.

Este es el magnífico Juan Eudes que hubiera debido nacer en nuestra época y usar todos los medios que actualmente tenemos para difundir el Evangelio. ¡Qué palabra tan bella, tan abrasadora sería la de Juan Eudes actualmente! Cuando se encuentra todo un mundo ansioso de Dios, ansioso de perfección, ansioso de verdad, pienso que Juan Eudes quedaría bien en esta época. Nosotros, la Congregación de san Juan Eudes, deberíamos reflexionar mucho si no es el caso de encender vivamente nuestro ardor evangélico y si no debemos caracterizarnos en este mundo por poseer el secreto, el ardor, el entusiasmo de una evangelización moderna para el mundo actual, inspirada en una experiencia nueva del Espíritu Santo.

Siervo de Dios Rafael García Herreros Sacerdote Eudista

Que no dejó ocasión ni oportunidad de hablar de Jesucristo. Su propósito de evangelización, su propósito de existir, está sintetizado en estas palabras suyas: “Jesucristo debe vivir en nosotros, y nosotros en Él sólo existir. Su vida debe ser nuestra y ésta una continuación y un reflejo de la suya. No tenemos derecho de vivir sobre la tierra sino para llevar, manifestar, santificar, glorificar y hacer vivir en nosotros el nombre, la vida, las cualidades, las perfecciones, los designios e inclinaciones, las virtudes, las acciones de Jesús (Vida y Reino, Cap. 1).

Juan Eudes fue evangelizador y fundó la comunidad como evangelizadora para siempre, siguiendo el impulso del Espíritu en cada época.

Un verdadero Eudista según san Juan Eudes debe ser ante todo evangelizador de Jesucristo: “Los Eudistas se sienten llamados a anunciar el mensaje evangélico para hacer del género humano la familia del Padre, en la que la plenitud de la ley es el amor” (Const. Cap. 2, Vers. 11).

El Eudista debe ser el hombre que arda de amor a Cristo y lo comunica a sus vecinos y a sus lejanos,
usando todos los medios que tenga a su alcance. Actualísima la vocación de los Eudistas: evangelizar con sinceridad, con entusiasmo, con el ardor carismático de los Hechos Apostólicos.

Este es el magnífico Juan Eudes que hubiera debido nacer en nuestra época y usar todos los medios que actualmente tenemos para difundir el Evangelio. ¡Qué palabra tan bella, tan abrasadora sería la de Juan Eudes actualmente! Cuando se encuentra todo un mundo ansioso de Dios, ansioso de perfección, ansioso de verdad, pienso que Juan Eudes quedaría bien en esta época. Nosotros, la Congregación de san Juan Eudes, deberíamos reflexionar mucho si no es el caso de encender vivamente nuestro ardor evangélico y si no debemos caracterizarnos en este mundo por poseer el secreto, el ardor, el entusiasmo de una evangelización moderna para el mundo actual, inspirada en una experiencia nueva del Espíritu Santo.

Siervo de Dios Rafael García Herreros Sacerdote Eudista





Assemblée Provinciale 2016



Le 17 Août

Durant toute cette année, toutes les communautés se sont préparées à l’Assemblée Provinciale autour des trois axes : les intuitions de saint Jean Eudes, la communauté apostolique, congrégation internationale.

Voici le temps de l’Assemblée en ce mois d’août ; pas tout à fait, puisque les membres de l’Assemblée (les délégués, les élus, les candidats eudistes, les deux représentants des AACE et le Provincial) vivent quatre jours de récollection animée par Marguerite Léna de la Communauté apostolique François-Xavier, communauté fondée par Madeleine Daniélou.

Elle a choisi la Lettre aux Éphésiens pour ses méditations spirituelles.

Le Père François Bedu, coordinateur de la liturgie a invité tous les participants à se tourner vers l’Esprit Saint, à le prier, à le louer : « Ô divin Esprit, je me donne tout à vous : possédez-moi et conduisez-moi en toute chose, et faites que je vive comme un enfant de Dieu, comme un membre de Jésus-Christ, et comme une chose qui est née de vous, et qui par conséquent est à vous, et doit être possédée, animée et conduite par vous » (Œuvres Complètes de st Jean Eudes, tome II, p 172-173.176-177).

Le 18 Août

En ce 18 août, les membres de l'Assemblée ont fait mémoire lors des Laudes et de l'eucharistie des 64 martyrs des Pontons de Rochefort, béatifiés par le pape Jean-Paul II le 1er octobre 1995.


L'un d'eux fut Charles Ancel, eudiste du diocèse de Rouen.

Marguerite Léna a terminé son dernier entretien sur le chapitre 5 et 6 de la lettre aux Ephésiens.


L'Assemblée sera ouverte après le dîner par les élections des officiers.

Le 19 Août

Ce 19 août est marqué par la solennité de saint Jean Eudes et l’Assemblée provinciale a honoré le fondateur de la Congrégation, lors des Laudes, de l’eucharistie le soir et par un déjeuner agrémenté d’un apéritif.

 
 
Les travaux de l’Assemblée ont été marqués par le rapport du Provincial suivi d’un temps de réactions et par la présentation par Mathieu Ruthy, jeune professionnel ayant participé à l’organisation des JMJ Familia Eudista 2016, de sa perception des Eudistes et de leurs attentes vis-à-vis des Eudistes.

Le 20 Août

En ce début de journée, la parole fut donnée à Marguerite Léna (qui a animé les jours de récollection). Reprenant les 3 axes du pape François dans sa lettre apostolique pour l’Année de la Vie consacrée (Regarder le passé avec reconnaissance ; vivre le présent avec passion ; embrasser l’avenir avec espérance), elle a décrit la Communauté apostolique de st François-Xavier, ce service de l’éducation auprès des jeunes filles.


 

Dans ce second temps, l’Assemblée a élaboré des thèmes de discussion qui ont fait l’objet d’un partage en petits groupes puis en assemblée plénière. La soirée fut consacrée aux Amis et Associés (AACE).

Le 21 Août

L’Assemblée a poursuivi la réflexion autour des thèmes définis la veille.

En fin d’après-midi, l’économe provincial a présenté son rapport.

Un temps de partage a suivi.

Les 22 et 23 Août

Durant ces deux journées, l’Assemblée a cherché à définir ce qu’elle souhaitait élaborer comme texte normatif.

Elle a revu les motions, recommandations des anciennes Assemblées provinciales ainsi que les Règles pratiques provinciales.

En fin d’après-midi du mardi 23, les dix-sept membres votants de l’Assemblée ont reçu 2 bulletins de vote.

L’eucharistie a clôt la journée avec les textes de la messe du Cœur de Jésus.

Il reste quelques actes de l’Assemblée à voter.

Ce sera le travail du mercredi 24 août avant la célébration des jubilaires.